Entre contes et chansons traditionnelles, Catherine Le Flochmoan nous entraîne dans l’imaginaire des contes nordiques peuplés d’elfes, de trolls et d’autres êtres inquiétants… Christofer Bjurström l’accompagne au piano et aux flûtes: en semble ils nous plongent dans le monde étrange des contes nordiques.

Films de Charley Bowers| 1926-1927 |1h08

Trois courts-métrages où le réalisateur Charley Bowers mêlait prises de vues réelles et images d’animation. Tombé dans l’oubli, le personnage de M. Bricolo, aux inventions singulières, vit les aventures les plus rocambolesques. Curieusement, les copies des films de Charley Bowers ont été retrouvées pour la plupart en Europe et non aux États-Unis.

Une bonne humeur et une inventivité étonnantes et convaincantes

• Non tu exagères (Now You Tell One) : Bricolo met au point un produit miracle permettant de se débarrasser des souris.
• Bricolo inventeur (Many a Slip) : La trouvaille de Bricolo prend cette fois l’apparence d’une peau de banane anti-dérapante.
• Le Roi du charleston (Fatal Footsteps) : Des chaussures de son crû guident automatiquement les pas des danseurs de charleston.
  • Christofer BJURSTRÖM : Piano, Composition
  • Nicolas POINTARD : Batterie, percussion

  Une formation musicale simple et directe pour ces films à la fois absurdes, poétiques et bondissants : le duo piano-batterie. Élasticité, percussivité, éclairs poétiques, une musique enjouée et bondissante.

Un programme de trois court-métrages de Charlie Chaplin, « Charlot patine » (The Rink), Charlot Policeman (Easy Street) et « L’Emigrant » (The Immigrant) et une musique épousant les mouvements et l’humeur variable de ces miniatures. Une musique mélodique, sensuelle, rythmée pour se fondre dans l’humour, les facéties et la tendresse de Chaplin.

Agnès Vesterman, violoncelle
Christofer Bjurström, piano, composition

A partir de 2 ans – 45 min

Un musicien, une conteuse-chanteuse et quatre petits films inuit mettant en scène des animaux et des hommes, confrontés à la vie et à ses choix, dans la plus pure tradition inuit …
Souffle du vent, notes de flûtes, atmosphères de petits sons aériens, rythmes rieurs se mêlent aux chansons inspirées des chants inuit et à la narration malicieuse …

Un voyage ludique et souriant dans le Grand Nord Arctique.

Christofer Bjurström : Composition / Piano / Flûtes / Electronique
Catherine Le Flochmoan : Conte / Voix / Objets sonores

La réalisatrice Lotte Reiniger, maîtresse incontestée du film en silhouettes découpées a réalisé ces 4 court-métrages d’animation dans les années 1950, des années après son monumental « Les Aventures du Prince Ahmed ».

Ces 4 petites merveilles d’animation sont autant de tableaux différents. Pour chacun de ces films, il s’agit d’une part de trouver la narration cohérente avec les images, sans trop de bavardage, et d’autre part de trouver le caractère musical de chaque conte. Pour celà, nous utilisons des couleurs musicales variées en utilisant selon les moments des instruments différents, de la flûte au piano en passant par le santour iranien, et en contant et en incarnant certains dialogues. L’important étant de garder la poésie des petits bijoux que sont ces films.

Catherine Le Flochmoan: conte, chant, objets sonores
Christofer Bjurström: piano, santour, flûtes

Entre contes et chansons traditionnelles, Catherine Le Flochmoan nous entraîne dans l’imaginaire des contes nordiques peuplés d’elfes, de trolls et d’autres êtres inquiétants… Christofer Bjurström l’accompagne au piano et aux flûtes: en semble ils nous plongent dans le monde des contes nordiques.

Christofer Bjurström, en solo de piano, avec notamment des extraits de son album « Ecume de mai », un voyage à travers les sensations et les réminiscences.

Christofer Bjurström parvient à produire une musique à la fois résistante et liquide, avec des formes qui naissent et s’évanouissent, en une plongée dans les tréfonds de l’intime. Notes en pluie serrée et persistante, ou qui perlent et rebondissent un un friselis moutonnant, martèlement audacieux du clavier ou bruit sourd dans les bois et cordes quand le piano est préparé, superpositions d’accords et de brisures rythmiques composent un chant jamais plaintif mais lucide, une mélodie souvent heurtée, des tressaillements qui remontent avec le souffle du temps. Avec l’appréhension d’un certain vide qui devient silence, dans une tonalité volontairement grave, s’inscrivent pauses, ruptures, blancs. Un rythme souvent insistant, obsessionnel parcourt ses solos qui racontent presque toujours une histoire. Surgissent aussi des mélodies plus fluides, impressionnistes, des élans lumineux réparant les horizons éclatés, qui ramènent vers des rivages connus, avec l’espérance.
Ainsi écoutons nous ce piano en archipel, singulier pluriel qui sait accompagner les images d’un film qui se projette dans notre imaginaire.
Sophie Chambon, Les Dernières Nouvelles du Jazz, décembre 2020

Un programme de trois court-métrages de Charlie Chaplin, « Charlot patine » (The Rink), Charlot Policeman (Easy Street) et « L’Emigrant » (The Immigrant) et une musique épousant les mouvements et l’humeur variable de ces miniatures. Une musique mélodique, sensuelle, rythmée pour se fondre dans l’humour, les facéties et la tendresse de Chaplin.

Catherine Le Flochmoan: voix / intertitres
Christofer Bjurström, piano, composition

Un film de Buster Keaton, de 1927: le sport comme on ne l’a jamais vu pratiqué…à la manière de Keaton ! Premier de la classe et maigrichon, il se lance dans le sport pour l’amour de sa belle, et provoque quelques catastrophes….

Mais, bien sûr, quand celle-ci est en danger, il parvient à se dépasser pour la sauver. Un enchaînement de gags pour une musique toute en rythme et en rebondissements.

En même temps, c’est un film qui ne manque pas de tendresse et la musique alterne ainsi moments intimes mélodiques, instants décalés et passages échevelés (comme la fin du film avec le sauvetage in-extremis de la jeune fille et la course d’aviron).

Le duo piano/batterie permet cette souplesse d’adaptation et d’immersion dans les multiples facettes du film.

• Christofer Bjurström, piano / composition
• Nicolas Pointard, batterie